Derrière l’opération de comm’ tout sourire de Marine Le Pen, il y a des trucs nettement plus glauques… si c’est ce que vous voulez, les électeurs du FN, alors va falloir assumer...et ne pas venir dire, quand nous aurons notre propre Anders Behring Breivik (l’assassin en Norvège) qu’il s’agit d’un « acte isolé » commis par un malade mental…
Et que dire des représentants de la communauté juive qui applaudissent ce genre de discours au nom de la « défense d’israël »…
Qui sème le vent…
POUR REMI CARILLON, CANDIDAT FRONT NATIONAL DES HAUTS-DE-SEINE, IL FAUT EXPULSER TOUS LES MUSULMANS DE FRANCE, « QUITTE A PROVOQUER UNE GUERRE CIVILE »
[Rémi Carillon – Les 4 Verités – Journal d’extrème droite – 18/05/2012]
Dans le n° 740, je présentais une méthode douce pour traiter l’Islam en France, et annonçais que j’en présenterais une forte. Ce n’est que si la douce n’a pas fonctionné, qu’il faudra utiliser la forte : la première est donc un passage obligé qui légitimera la seconde, que voici.
La première étape sera de mettre en évidence l’échec de la méthode douce. Il aura donc fallu la jalonner d’indicateurs de réussite fiables et indiscutables. L’objectif sera de démontrer que le « vivre ensemble », sous-entendu « avec la charia », est une utopie vouée à l’échec.
La seconde étape sera de demander aux Français de choisir, par référendum, entre deux solutions, toutes deux radicales et opposées :
- La France cède à l’Islam (adaptation systématique de notre loi à la charia), en échange d’une paix durable, quitte à ce que la France devienne une république islamique.
- L’Islam cède à la France (expulsion pure et simple des musulmans de France vers leurs pays d’origine), quitte à provoquer une guerre civile.
Le référendum présente plusieurs avantages :
- – Le premier, c’est la légitimité incontestable qu’il donne pour appliquer une politique, puisque c’est le peuple souverain qui s’est directement exprimé.
- – Le second, c’est qu’il sera naturellement précédé d’un débat de plusieurs mois au cours duquel pourront s’exprimer toutes les opinions.
- – Le troisième, c’est qu’il permettra d’expliquer en long, en large et en travers, les avantages et les inconvénients des deux solutions, en décrivant quelles mesures législatives et exécutives seront prises, et quelles en seront les conséquences à court, long et moyen termes.
À n’en pas douter, si aucune précaution n’est prise, les musulmans de France, d’Europe et du monde entier, réagiront très violemment à l’annonce d’un tel référendum, avant même son résultat, bien plus violemment que lors de la publication des caricatures sur Mahomet.
En France, ils manifesteront dans les rues en cassant tout sur leur passage, brûleront tout ce qu’ils pourront dans les banlieues, sortiront les armes de guerre qu’ils cachent dans leurs caves, déclencheront des actes terroristes sur le territoire national, tandis qu’en terre d’Islam, ils exécuteront les Français expatriés.
C’est pourquoi la seconde étape sera précédée d’une longue préparation dont le but sera d’éviter, sinon de limiter, ces réactions :
- – La France aura expliqué ses intentions aux pays occidentaux, ses alliés, tous confrontés au même problème, et ne lancera le référendum qu’avec le soutien d’états suffisamment nombreux et importants, de façon à éviter un Kosovo français.
- – L’armée aura envoyé tous les militaires musulmans sur ses terrains d’action en terre d’Islam (Afghanistan, Afrique noire), et aura révoqué tous ceux qui auront refusé de s’y rendre.
- – Les Français en terre d’Islam (expatriés, diplomates) auront été remplacés, si possible, par des Français musulmans.
- – Le gouvernement français aura planifié de déclarer l’état d’urgence et de mobiliser l’armée sur son territoire national dès les premières exactions.
La France se retrouvera donc probablement en guerre civile, mais pas si « civile » que cela, puisqu’elle opposera des Français de souche contre des membres de l’Oumma, qui l’envahissaient avec comme seule arme (mais quelle arme !) leur démographie galopante, contre la nôtre, chancelante.
Une guerre n’est jamais agréable et les pacifistes se lèveront pour défendre les musulmans stigmatisés, comme le feront les intellectuels, les médias, les artistes, les religieux, et l’étranger. Mais nous n’avons en fait qu’une seule alternative : soit disparaître, soit combattre. Les règles démographiques nous donnent mathématiquement perdants. Si nous voulons que renaisse notre France, et non qu’elle soit remplacée par une république islamique, nous n’avons d’autre recours que l’éradication de l’Islam de notre pays. Or l’Islam ne respecte que la force. C’est ce qu’il faudra faire comprendre à une majorité de Français, pendant la campagne référendaire.
Si le référendum est favorable à l’éradication, la France deviendra la cible économique de tout le monde musulman : plus de pétrole, plus de marchés. Mais la préservation de notre identité est à ce prix. C’est pourquoi le soutien d’autres démocraties occidentales sera primordial. Après quoi, ce sont elles qui nous suivront…
http://www.les4verites.com/Contre-l-islamisation-la-methode-forte-2934.html
4 juin 2012 at 1:04
Bonjour
Tout d’abord je tiens à vous remercier pour ce blog qui aborde des sujets que l’on voit peu ailleurs.
Maintenant en réaction à cette article, bien que ses propos sont certainement outranciers dans les temps de paix de l’on connait, il faut savoir que de plus en plus de gens, et bien au delà du front national, pensent que la fuite en avant dans notre société multiculturelle ne pourra mener qu’au communautarisme et à davantage de tension et de haine entre ces communautés pour aboutir finalement à une inévitable guerre civile. J’en fait parti.
Alors que celle-ci vienne par là haut, ou par le bas, provoqué ou spontané, que les camps s’y prépare stratégiquement, pourquoi pas, cela reste de la prospective. Il faudrait plutôt disserter sur la société multiculturelle et le communautarisme, sur l’immigration, intégration ou assimilation plutôt que de crier au loup quant à la possibilité de voir le FN arriver au pouvoir et appliquer ce programme, ce qui est tout simplement impossible vu l’organisation de nos pouvoirs et de nos élections.
A moins que… La grande crise générale et systémique ne poursuive son travail de sape, s’appliquant parfaitement à révéler tous les mensonges sur lesquels est battis notre système. Et tous les sujets fondamentaux, de bon sens laisser entre les seuls mains du FN pourraient alors exploser à la figure de nos partis de gouvernement. A base de non respect de la souveraineté nationale et de fuite en avant dans le fédéralisme européen et le mondialisme, à base de racket déguisé en solidarité, à base d’immigration chance pour la France, d’auto-congratulation et de vertu affirmé de tous nos intellectuels autorisés vivant en vase clos, persévérant dans la négation de la réalité, insultant l’intelligence et le ressenti des gens, leur expliquant que ce qu’ils vivent dans leurs tripes et voient de leur yeux n’existe pas.
Et il ne faut pas s’attendre à un changement de logicielle de nos gouvernants, affichant une pseudo tolérance maquillé en vertu, alors qu’il ne s’agit que d’une incapacité de décision lorsque celle-ci vous met forcement quelqu’un à dos. ah non, il ne faut pas stigmatiser les communautés! Mais il ne faut pas non plus se mettre à dos le patronat qui ne veux pas perdre sa deuxième armée de réserve. Et l’on continue dans la politique communautaire, à base d’un coup pour les arméniens, un coup pour les juifs, un coup pour les jeunes de banlieue…
Pourtant toutes ces fractures Françaises et contradiction politique sont bien identifiés, et jusqu’à la gauche, par Guilluy, Michéa… Mais on persévère, et bien sur la faute est du coté des vils nazis du FN qui attisent la haine, certainement pas du coté de ceux qui ont laissé une situation dégénérée jusqu’au point de non retour.
4 juin 2012 at 4:21
Si le ridicule tuait, il n’y aurait plus beaucoup de ‘politiques’ en France… « La vérité passe par trois phases : d’abord ridiculisée, ensuite combattue avec violence, et finalement claironnée comme l’évidence même » ! Certes, les articles qui abordent publiquement l’histoire de la création de l’Islam par le Vatican sont rares, et encore plus rarement en Français. Choqués ? Rejet faute d’avoir étudié sa propre histoire ? Ou négliger sciemment pour des raisons d’assujettissement à un agenda de guerres de ‘religions’ à répétition qui n’enrichissent que les manipulateurs des esprits des moutons en politique ?
Pour les bilingues, et en Anglais, un bref aperçu (les liens de renvois sont déja ‘morts’ – surprise !) : HOW THE VATICAN CREATED ISLAM
Cliquer pour accéder à How-the-Vatican-Created-Islam.pdf
ou ici, vidéos incluses. Les whistleblowers de l’intérieur sont généralement vilipendés avant d’être éliminés définitivement parce qu’ils ont su vaincre la peur : ‘THE PROPHET’ (en BD, donc à la portée des momes) :
http://www.spirituallysmart.com/alberto.html
Allez faire un tour de lecture du serment que doivent prononcer les jésuites ensuite. C’est « raffraîchissant » de vertus et de bontés…
.
Qui veut se faire pièger encore et encore ?! Qu’on arrête un peu les conneries entre Islam et Catho made in vatican. Ca leur a pété au visage plus d’une fois, mais toujours au détriment de milliers de cadavres innocents.
Racontez-nous plutôt pour quelle raison on découvre Christophe Béchu, UMP, avocat, ancien membre au C.A. de DEXIA (!!!), Conseil Général, Maine et Loire, membre du Parlement E.U. dans la liste des participants au Bilderberg 2012.
5 juin 2012 at 2:35
Je suis heureuse que le problème des minorités en France soit abordé ici. En effet, une minorité nous menace, car elle n’en est plus vraiment une vu la vitesse à laquelle elle s’étend, et parce qu’elle bafoue notre culture, nos valeurs, notre identité. Je veux parler de 18% de français qui suivent des leaders prônant la haine comme solution à tout, des français qui penchent vers la voie de la facilité en désignant des boucs émissaires pour masquer les problèmes de la société. Mais cette voie n’est pas nouvelle ! Les partis d’extrême droite l’utilisaient déjà il y a 150 ans contre le peuple juif. Mais une fois que la persécution de ce peuple eut atteint son paroxysme par la Shoah que certains ont eu l’audace de minimiser, il a fallut trouver de nouvelles cibles. Quoi de plus facile à nouveau ! La France a servi sur un plateau une population immigrée dont elle avait besoin pour son équilibre démographique. Cette immigration ne pose des problèmes qu’à ceux qui les cherchent. Car oui, le multiculturalisme est un aspect de la France. Terre d’immigration, elle a fait appel aux polonais, espagnols, italiens… rien qu’au début du siècle. Certains prétendent que la nouvelle immigration, la « population maghrébine » est mauvaise par nature alors que les immigrations européennes du XX siècle n’ont posé aucun problème. Ils devraient revoir l’Histoire ! Nous avons massacré des italiens venus par milliers. Toutes les population immigrées ont connu le même stigmate et le même sort, alors arrêtons de croire que le problème vient de la population qui immigre et remettons en cause le pays qui accueille.
Si je ne suis plus politiquement correcte, ceci est un cris de rage contre l’intolérance que je retenais pour ne pas tomber dans ce jeu haineux et pour ne pas insulter certains de mes concitoyens. Mais merde ! C’est à vous que je m’adresse partisans de la division. Avant de vous demander comment j’ai pu insulter une partie des français, demandez vous comment avez vous pu en faire de même. Car vous insultez bien des français, au même titre que vous ; que vous vous permettez de ramener à leur religion ou leurs origines dans des amalgames horrifiants. Parlons d’ailleurs de ces origines auxquelles vous êtes tant attachés. Mais le constat n’est pas gratifiant ! C’est un peuple qui a pu souffrir de la France. De la France qui l’a exploité, soumis à l’esclavage par les colonies, envoyé aux premières lignes des fronts d’une guerre qu’il n’a pas voulu, massacré lorsqu’il demandait une indépendance légitime !
Et je ne parle pas des absurdités de cet article selon lesquelles il faudrait sacrifier une partie de notre population dans la guerre pour satisfaire les lubies de certains. S’il faut oublier liberté, égalité, fraternité pour quoi que ce soit, et encore moins pour l’intolérance, alors en France, je ne me sens plus chez moi.
19 juin 2012 at 4:05
Le Coran appelle aussi à la paix si les agresseurs penchent pour la paix :
« Et s’ils inclinent à la paix, incline vers celle-ci (toi aussi) et place ta confiance en Allah, car c’est Lui l’Audient, l’Omniscient » ( Sourate 8 « Le butin », verset 61 )
Le Coran appelle le musulman à faire la paix :
« Si donc ces gens-là se tiennent à l’écart, et au lieu de vous attaquer vous offrent la paix, Dieu vous donne plus aucun droit de les inquiéter » ( Sourate 4 « Les femmes », verset 90 )
Le musulman doit compatir aux peines des infidèles ( non-musulmans ) comme il le fait pour le commun des mortels, à savoir les nourrir quand ils ont faim, leur donner à boire quand ils ont soif, les soigner quand ils sont malades, les tirer du péril et leur éviter tout mal :
le prophète saws dit : « Ayez pitié de ceux qui vivent sur terre. Celui qui est au ciel aura pitié de vous » ( Hadith Tabarani ), » Tout bienfait à tout etre vivant est récompensé par Dieu »
Le musulman doit sauvegarder les biens, le sang et l’honneur du non-musulman si ce dernier n’est pas en guerre contre lui :
le prophète saws rapporte la parole de son Seigneur qui dit :
« Mes serviteurs ! Je Me suis interdit l’injustice. Je vous l’interdis aussi. Ne soyez pas injuste les uns envers les autres » ( hadith Moslim )
« Quiconque fait mal à un sujet non-musulman, je serai Moi-meme son adversaire le Jour de la Résurrection » ( hadith Moslim )
Le musulman peut offrir un cadeau à un non-musulman et inversément il peut accepter le sien :
Il s’est avéré que le Prophète (saws) a accepté les cadeaux que lui avaient envoyé les rois Ahmad et At-Tirmidhi qui n’étaient pourtant pas musulmans, et inversément Oumm Salama, l’épouse du Prophète ( saws ), a rapporté que le Prophète (saws) lui a dit : « J’ai offert au Négus une tenue d’apparat et quelques onces de soie » ( Ahmad et At-Tabarani )
En cas de guerre déclarée à l’encontre des musulmans, le musulman ne doit ni tuer de femmes ni d’enfants ou vieillards non impliqués dans la guerre :
« Partez au nom de Dieu, de par Sa Puissance et selon la Sunna de Son Prophète.
Ne tuez ni veillards hors d’age, ni enfants, ni bébés, ni femmes.
Ne fraudez pas sur le butin conquis, rassemblez-le et dirigiez vos affaires au mieux. Dieu aime ceux qui s’appliquent à bien faire ». ( Hadith Abou Daoud )
Dans le Sahih de Muslim, selon Burayda, le prophète Mohammed ( SAWS ) disait à ses compagnons «Ne trahissez point, ne vous appropriez pas indûment ce qui ne vous appartient pas; ne pratiquez pas la tromperie et les mutilations; ne tuez pas les gens paisibles, hommes, femmes, enfants et vieillards; ne déracinez ni brûlez un palmier; ou ne coupez pas des arbres portant des fruits. Vous rencontrerez des moines qui se sont retirés dans des ermitages; laissez-les accomplir le but pour lequel ils ont fait ceci».
Le musulman doit PRIVILEGIER LE PACIFISME et avoir pitié du malade non-musulman :
TRES JOLIE HISTOIRE SUR LAQUELLE NOUS DEVONS MEDITER POUR MONTRER LE BON EXEMPLE :
A l’époque du Prophète (saws), un homme d’une tribu juive voulant faire du mal à notre Messager de Dieu (voilà pourquoi il y a certains versets violents envers certains mécréants dans le Coran ) jetta chaque soir des obstacles sur le chemin que le Prophète (saws) empruntait pour se rendre à la mosquée afin qu’il se fasse mal sur l’un de ses obstacles dans l’obscurité de la nuit lorsqu’il se rendit à la mosquée pour faire la prière la nuit; mais une nuit, le Prophète (saws) ne trouva plus ces obstacles sur son chemin, il s’est alors demandé ce qui se passait en pensant que son agresseur pouvait etre malade, de ce fait il se renseigna pour savoir où habite son agresseur afin de lui rendre visite et prendre ainsi des nouvelles sur son état de santé, il obtint son adresse et se rendit à son chevet, l’agresseur, effectivement malade, fut surpris du geste du Prophète (saws), il lui demanda pourquoi il se préoccupa de lui malgré le mal qu’il voulait lui faire subir, suite à cela, devant le prophète (saws), il se convertit à l’Islam juste avant de mourir dans son lit.
19 juin 2012 at 4:12
La liberté de travailler des dhimmis ( non-musulmans ) :
Les non-musulmans jouissent de la liberté de travailler et de gagner leur vie qu’ils soient employés ou travaillant à leur propre compte. Ils peuvent exercer les professions libérales et s’engager dans toutes sortes d’activités économiques au même titre que les musulmans. En effet, les juristes ont statué que les dhimmis sont comme les musulmans en ce qui concerne les transactions commerciales, tous types de contrat et toutes transactions financières. Ils firent exception des contrats usuriers qui leur furent interdits au même titre que les musulmans. On relate que le Prophète – que les salutations et les bénédictions d’Allâh soient sur lui – aux Majous (magéens) de Hajr : « Soit vous abandonnez l’usure, soit vous vous exposez à une guerre d’Allâh et de Son Messager ».
De même, on interdit aux gens de la dhimmah de vendre les vins et les porcs dans les pays musulmans et d’ouvrir les bars où l’on boit le vin et où sa manipulation est facilitée. On leur interdit également l’importation du vin de manière ostentatoire et même s’il est destiné à leur consommation personnelle de manière à boucher les brêches de la corruption et de fermer les portes de la tentation.
Hormis ces exceptions limitées, les dhimmis jouissent entièrement de leur liberté d’exercer tout commerce, artisanat et métiers divers. Ceci fut toujours appliqué et l’histoire des musulmans en témoigne à toutes les époques. Certains métiers faillirent même être monopolisés par les dhimmis comme le secteur bancaire, la pharmacie et d’autres. Ceci dura jusqu’à très récemment dans les pays musulmans. Ils ammassèrent ainsi des fortunes énormes exemptées de zakât et de tout impôt sauf la jizyah qui est un impôt perçu de la part des individus capables de prendre les armes – comme nous le verrons ultérieurement – et dont la valeur est minime.
Adam Metz dit : « Rien dans la législation islamique ne fermait devant les dhimmis les portes du travail. Ils étaient fermement établis dans les métiers qui rapportaient beaucoup. Ainsi étaient-ils banquiers, commerçants, grands rentiers et médecins. Ils s’organisèrent si bien que la plupart des banquiers doués en Syrie étaient juifs alors que la plupart des médecins et scribes étaient chrétiens. Le doyen des chrétiens à Baghdâd était le médecin du Caliphe et les chefs et grandes personnalités juives faisaient partie de sa cour. » (La Civilisation Islamique au Quatrième Siècle de l’Hégire du professeur Adam Metz, professeur de langues orientales à l’Université de Bâle en Suisse, traduction en arabe de M. Mohammad `Abd Al-Hâdî Abû Rîdah, 4ème édition, section « Les juifs et les chrétiens », volume 1, p. 86)
Les non-musulmans dans la société islamique
Section : Les droits des dhimmis… L’exercice des fonctions publiques des dhimmis ( non-musulmans ) :
Les dhimmis ont le droit d’exercer les fonctions publiques au même titre que les musulmans à l’exception des postes dominés par l’emprunte religieuse tels que l’imâmat, la présidence de l’état, le commandement de l’armée, rendre justice entre les musulmans et la gérance des donations etc. En effet, l’imâmat et le caliphat sont des fonctions couvrant à la fois le religieux et le profane. Il s’agit de la succession du Prophète – que les salutations d’Allâh et Ses bénédictions soient sur lui – et seul un musulman peut devenir le successeur du Prophète. De même, il est inconcevable que les prescriptions islamiques soient mises en oeuvre et gardées par autre qu’un musulman. Le commandement des armées n’est pas purement une fonction civile non plus, il s’agit d’une oeuvre de culte en islam puisque le jihâd est au sommet des oeuvres cultuelles islamiques. La magistrature n’est autre que le jugement selon les prescriptions de la loi islamique. Aussi ne demande-t-on pas à un non-musulman de juger selon une loi à laquelle il ne croit pas. Il en est de même pour la gérance des aumônes et donations et toutes les fonctions religieuses similaires.
Hormis ces exceptions, les fonctions de l’état peuvent être confiées aux dhimmis s’ils remplissent les conditions requises en termes de compétence, de probité et de loyauté envers l’état. Sont exclus ceux qui nourrissent une haine manifeste envers les musulmans comme ceux qu’Allâh décrit dans le verset : « Ô les croyants, ne prenez pas de confidents en dehors de vous-mêmes : ils ne failliront pas à vous bouleverser. Ils souhaiteraient que vous soyez en difficulté. La haine certes s’est manifestée dans leurs bouches, mais ce que leurs poitrines cachent est encore plus énorme. Voilà que Nous vous exposons les signes. Si vous pouviez raisonner ! » [verset 3]
La tolérance des musulmans était telle que certains grands juristes, comme Al-Mâwardî dans Al-Ahkâm As-Sultâniyyah (Les statuts gouvernementaux), déclarèrent qu’il était possible de confier le ministère de l’exécutif (wizârat at-tanfîdh) sachant que le ministre de l’exécutif a pour mission de transmettre les ordres de l’imâm et de les exécuter et de mettre en vigueur les prescriptions émanant de lui. Ce ministère diffère du ministère de la délégation (wizârat at-tafwîd) où l’imâm délègue au ministre la gérance des affaires politiques, administratives et économiques.
Des chrétiens furent ministres à plusieurs reprises à l’époque abbasside dont Nasr Ibn Hârûn en 369 A.H. et `Îsâ Ibn Nestorus en 380 A.H. Avant cela, Mu`âwiyah Ibn Abî Sufyân avait un scribe chrétien prénommé Sarjûn. La tolérance des musulmans à cet égard atteignait parfois la limite de l’injustice envers les musulmans au point que les musulmans à certaines époques se plaignirent de la main mise des juifs et des chrétiens sur eux sans droit.
L’historien occidental Adam Metz dit dans son livre La civilisation islamique au quatrième siècle de l’hégire (volume 1, p. 105) : « L’une des choses qui nous étonne le plus c’est le grand nombre de grands fonctionnaires non-musulmans dans l’état islamique. C’était à croire que les chrétiens étaient ceux qui gouvernaient les musulmans dans les terres d’islam. D’ailleurs, la doléance au sujet du pouvoir des dhimmis sur les populations musulmanes est une doléance ancienne ».
Un poète égyptien (Al-Hasan Ibn Khâqân, d’après Husn Al-Muhâdarah d’As-Suyûtî, volume 2, p. 117 et La civilisation Islamique d’Adam Metz, volume 1, p. 118) dit au sujet des juifs de son temps et leur main-mise sur ses grandes fonctions :
Les juifs de ce temps atteignirent leurs rêves les plus extrêmes
La gloire leur appartient ainsi que la fortune et parmi eux on compte conseiller et roi
Ô gens d’Egypte, je vous conseille sincèrement de vous judaïser, l’univers s’est lui-même judaïsé !
Un autre dit deux vers de poésie, repris par le fameux juriste hanafite Ibn `Âbidîn, réagissant à la préférence accordée aux non-musulmans par rapport aux musulmans au point de manipuler les juristes et les savants et d’autres (Hâshiyat Ibn `Âbidîn, volume 3, p. 379) :
Bien-aimés, les calamités du temps sont nombreuses et plus amère encore est l’élévation des indigents
Quand est-ce que le temps se réveillera de son ivresse afin que je voie les juifs aussi humiliés que les juristes
Ceci n’est que la conséquence de l’ignorance, de la déviance et de la perturbation dont fut frappé la société islamique dans les ères de décadence au point que les juifs deviennent puissants et les juristes humiliés. Le dernier exemple de ce phénomène enregistré par l’histoire n’est autre que la politique suivie par l’état ottoman dans ses derniers moments si bien que de nombreuses grandes fonctions et beaucoup de postes sensibles étaient assignés à des ressortissants non-musulmans parmi ceux qui lui souhaitaient le mal et la plupart de ses ambassadeurs et représentants dans les pays étrangers étaient nommés parmi les chrétiens.
Les non-musulmans dans la société islamique
Section : Les droits des dhimmis La liberté de confession des dhimmis ( non-musulmans ) :
Parmi les droits des dhimmis protégés par l’islam, il y a nombre de libertés au premier rang desquelles la liberté de conviction et de culte. La religion de chaque individu et sa pensée le concernent avant tout et il ne peut être contraint à en changer ni subir des pressions pour embrasser l’islam. Ce droit se fonde sur la parole du Très Haut : « Nulle contrainte en religion, la voie droite se distingue clairement de l’égarement » (verset 2:256) et Sa parole – Exalté soit-Il : « Contraindrais-tu les gens à devenir croyants ? » (verset 10:99)
Ibn Kathîr dit dans l’exégèse du premier verset : c’est-à-dire ne contraingnez personne à embrasser la religion islamique car elle est explicite et claire, ses arguments et ses preuves sont limpides, et n’a pas besoin de recourir à la contrainte pour qu’on l’embrasse. La raison de révélation de ce verset mentionnée par les exégètes montre l’une des facettes de l’inimitabilité de cette religion. On rapporte qu’Ibn `Abbâs dit : « Il était de coutume qu’une femme ayant une faible progéniture fasse voeu, si son enfant survit, de le convertir au judaïsme. (Certaines femmes des Ansâr [1] pratiquaient cette coutume pendant la jâhiliyyah. [2]) Lorsque les Banû An-Nadîr [3] furent bannis, il y avait parmi eux des enfants des Ansâr.
Leurs parents dirent : Nous ne laisserons pas nos enfants (c’est-à-dire : nous ne les laisserons pas embrasser le judaïsme). Alors Allâh – Exalté et Glorifié soit-Il – révéla le verset « Nulle contrainte en religion » (Ibn Kathîr l’attribua à Ibn Jarîr qui dit : « Cette narration fut rapportée par Abû Dâwûd, An-Nasâ’î, Ibn Abî Hâtim, Ibn Hayyân dans son Sahîh. De même, Mujâhid, Sa`îd Ibn Jubayr, Ash-Sha`bî, Al-Hasan Al-Basrî et d’autres rapportèrent que ce verset fut révélé à cette occasion… » Tafsîr Ibn Kathîr, volume 1, p. 310)
Bien que les tentatives de contraintes venaient de parents désireux de protéger leurs enfants de la subordination à leurs ennemis qui leurs faisaient la guerre et qui diffèraient par leur appartenance religieuse et nationale, en dépit des conditions particulières qui avaient occasionné l’adhésion de leurs enfants à la religion judaïque pendant leur enfance et malgré la prédominance dans le monde, et à cette époque, des vagues de persécution et de répression envers les gens qui divergeaient par la pensée et encore plus par la religion comme dans l’empire romain dont les ressortissants eurent à choisir entre la conversion au christianisme et la mort, puis quand l’empire romain eut adopté le courant melchite, il fit un bain de sang des chrétiens jacobites et autres ; malgré tout cela, le Coran a refusé la contrainte préférant que se convertisse de son propre chef et en connaissance de cause celui dont Allâh a élargi la poitrine et éclairé le jugement. Celui qu’Allâh a rendu aveugle et a scellé son ouïe et sa vue ne profitera pas d’une conversion contrainte et forcée – comme le souligne Ibn Kathîr. En effet, la foi chez les musulmans n’est pas un simple mot prononcé par la langue ni des rites accomplis corporellement. Au contraire, elle est fondée sur l’acquiessement du coeur, sa sujétion et son entière adhésion. C’est pourquoi l’histoire n’a pas connu un seul peuple musulman ayant tenté de contraindre les gens de la dhimmah à embrasser l’islam et cela est reconnu par les historiens occidentaux eux-mêmes.
Par ailleurs, l’islam a préservé les temples des non-musulmans et a été attentif à la sacralité de leurs rituels. Plus encore, le Coran a fait de la protection de la liberté de culte une raison légitimant la lutte armée et ce dans la parole du Très Haut : « Autorisation est donnée à ceux qui sont attaqués (de se défendre) – parce que vraiment ils sont lésés ; et Allah est certes Capable de les secourir – § ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, – contre toute justice, simplement parce qu’ils disaient : ‹Allah est notre Seigneur›. – Si Allah ne repoussait pas les gens les uns par les autres, les ermitages seraient démolis, ainsi que les églises, les synagogues et les mosquées où le nom d’Allah est beaucoup invoqué. » (verset 22:39-40)
Nous avons vu que le pacte du Prophète – paix et bénédiction d’Allâh sur lui – avec les habitants de Najrân leur accordait la protection d’Allâh et la dhimmah de Son Messager quant à leur biens, leur religion et leurs lieux de culte. De même, le pacte de `Umar Ibn Al-Khattâb avec les habitants de Jérusalem consigne leur liberté de culte et la sacralité de leurs temples et rituels : « Ceci est ce que le serviteur d’Allâh, `Umar, le Prince des Croyants accorde aux habitants de Jérusalem comme sécurité : Il leur accorde la sécurité pour leurs vies, leurs biens, leurs églises, leurs croix et l’ensemble de leur religion. Leurs églises ne peuvent être habitées, ni démolies, ni entamées qu’il s’agisse de leur espace, de leurs croix, ou de leurs biens. Ils ne seront pas contraints à abandonner leur religion, personne parmi eux ne sera inquiété et aucun juif n’habitera avec eux dans Jérusalem… » conformément au récit d’At-Tabarî. (Târîkh At-Tabarî, « Les Chroniques de Tabarî », édition Dâr Al-Ma`ârif, Egypte, volume 3, p. 609) Et, dans le pacte de Khâlid Ibn Al-Walîd avec les habitants de `Ânât : « Il leur est permis de faire retentir leurs trompettes à toute heure de la nuit ou du jour sauf aux heures des prières (musulmanes) et de sortir leurs croix pendant leurs jours de fêtes. » (Al-Kharâj d’Abû Yûsuf p. 146)
Tout ce que l’islam demande aux non-musulmans, c’est le respect des sentiments des musulmans et la sacralité de leur religion. Ainsi s’abstiendraient-ils d’exhiber leurs rituels et leurs croix dans les contrées islamiques et de construire des églises dans une ville islamique qui n’en contenait pas auparavant pour ce que cela comporte comme ostentation et comme innovation de nature à choquer la sensibilité islamique et à provoquer des troubles. Néanmoins, certains juristes musulmans ont autorisé les dhimmis à construire des églises, des temples et autres lieux de culte dans les pays islamiques et dans les pays conquis par les musulmans manu militari, c’est-à-dire les pays dont les habitants ont combattu les musulmans et ne se sont soumis à eux que par l’épée, si l’Imâm des musulmans [4] les y autorise, pour servir l’intérêt général, étant donné que l’islam reconnaît leurs croyances. Telle était l’opinion des zaydites et de l’Imâm Ibn Al-Qâsim parmi les compagnons de Mâlik (cf. Ahkâm Adh-Dhimmiyyîn wal-Musta’manîn pp. 96-99)
Il semblerait que ceci fut mis en oeuvre tout au long de l’histoire des musulmans et dès le caliphat d’Abû Bakr. En effet, plusieurs églises ont été construites en Egypte au cours du premier siècle de l’hégire dont l’église de « Mâr Murqus » à Alexandrie entre les années 39 et 56 après l’hégire. De même, la première église fut construite à Al-Fustât [5] dans le quartier des romains pendant le gouvernorat de Maslamah Ibn Mukhallad sur l’Egypte entre les années 47 et 68 après l’hégire. De plus, lorsque `Abd Al-`Azîz Ibn Marwân jeta les fondations de la ville de Hulwân, il y autorisa la construction d’une église tout comme il autorisa certains prêtres à construire deux monastères. De tels exemples sont légions. L’historien Al-Maqrîdhî cite dans son livre Al-Khutat de nombreux exemples puis conclut son propos disant : « Toutes les églises sus-mentionnées du Caire datent de l’ère islamique sans aucune contestation » (cf. Al-Islâm wa Ahl Adh-Dhimmah, i.e. « L’Islam et les dhimmis » de Dr. `Alî Husnî Al-Kharbutlî p. 139 et aussi Ad-Da`wah ilâ Al-Islâm, i.e. « L’Appel à l’Islam », de Thomas W. Arnold, pp. 84-86, 3ème édition, traduction arabe de Dr. Hasan Ibrâhim et al.).
En revanche, dans les villages et lieux ne faisant pas partie des contrées des musulmans, il n’est pas interdit aux non-musulmans d’exhiber leurs rituels religieux, de rénover leurs vieilles églises et de construire les bâtiments dont ils ont besoin du fait de leur croissance démographique. Cette tolérance avec les gens de religion différente de la part d’hommes dont la vie est entièrement axée sur la religion, et qui ont obtenu la victoire et la suprématie grâce à elle, est une chose extraordinaire dans l’histoire des religions comme en témoignent les occidentaux eux-mêmes.
Le savant français Gustave Lebon dit : « Nous avons vu dans les versets coraniques mentionnés précédemment que la tolérance de Mohammad envers les juifs et les chrétiens était extrêmement grande. Les fondateurs des religions précédentes et notamment le judaïsme et le chritianisme ne prêchèrent rien de comparable. Nous verrons comment ses successeurs suivirent fidèlement son exemple. » Certains savants européens suspicieux, tout comme les quelques croyants parmi eux, reconnurent ce fait après avoir étudié de près l’histoire des Arabes. Les propos suivants que nous avons recueilli dans les écrits d’un grand nombre d’entre eux prouvent que nous ne sommes pas seul à soutenir notre opinion sur ce sujet. Robertson dit dans son livre Biography of Charlequin i.e. « Biographie de Charlequin » : « Les musulmans sont les seuls à avoir réuni la protection jalouse de leur religion et la tolérance envers les adeptes des autres religions. Bien qu’ils aient dégainé le glaive pour répandre leur religion, ils ont laissé ceux qui ne voulaient l’embrasser libres de pratiquer leur religion ». (en marge de la page 128 du livre La Civilisation des Arabes de Gustave Lebon)
Les non-musulmans dans la société islamique
Section : Les droits des dhimmis Le droit à la protection établi en faveur des gens de la dhimmah comprend la protection de leur sang, de leur personnes et de leurs corps, tout comme il couvre la protection de leurs biens et de leur honneur. Donc, leur sang et leurs personnes sont préservés selon l’unanimité des musulmans et leur assassinat est illicite à l’unanimité. Le Messager – paix et bénédiction d’Allâh sur lui – dit : « Quiconque assassine un mu`âhid (une personne du pacte) ne sentira pas le parfum du Paradis, lequel se sent à quarante ans de marche » (rapporté par Ahmad, Al-Bukhârî dans Al-Jizyah, An-Nasâ’î et Ibn Mâjah dans Ad-Diyât selon le hadîth de `Abdullâh Ibn `Amr. Le mu`âhid d’après Ibn Al-Athîr désigne le plus souvent les gens de la dhimmah et peut être étendu aux autres mécréants si l’on s’accorde avec eux sur l’abandon de la guerre – Fayd Al-Qadîr, volume 6, p. 153)
C’est pourquoi les juristes musulmans considèrent unanimement que le meurtre d’un dhimmi est une kabîrah (i.e. un péché capital ou majeur) en vertu de la menace énoncée dans ce hadîth mais ils ont divergé sur la question du talion : un musulman peut-il être tué contre le dhimmi qu’il a lui-même tué. Le jumhûr (la majorité) des juristes dont Ash-Shâfi`î et Ahmad est d’avis qu’un musulman ne peut être tué contre un dhimmi se basant sur le hadîth authentique : « Un musulman ne peut être tué contre un mécréant » (rapporté par Ahmad, Al-Bukhârî, An-Nasâ’î, Abû Dâwûd et At-Tirmidhî du hadîth de `Alî, et dans Al-Muntaqâ et son commentaire. cf. Nayl Al-Awtâr, volume 7, p.15, édition Dâr Al-Jîl) et sur un autre hadîth : « Qu’un musulman ne soit pas tué contre un mécréant, ni qu’un mu`âhid couvert par son pacte (ne le soit non plus) » (rapporté par Ahmad, An-Nasâ’î et Abû Dâwûd du hadîth de `Alî également, ainsi qu’Al-Hâkim qui l’a jugé authentique dans Al-Muntaqâ et son commentaire. cf. la référence précédente.)
Mâlik et Al-Layth ont dit : si le musulman assassine le dhimmi délibérément, le talion est appliqué, sinon non. (Nayl Al-Awtâr, volume 7, p. 154) et c’est ce qu’Abbân Ibn `Uthmân a appliqué lorsqu’il était l’émir de Médine. Il a exécuté un musulman pour l’homicide volontaire d’un copte. Or, Abbân est considéré parmi les juristes de Médine. (cf. Al-Jawhar An-Naqî ma`a As-Sunan Al-Kubrâ)
D’autre part, Ash-Sha`bî, An-Nakha`î, Ibn Abî Laylâ, `Uthmân Al-Bittî ainsi qu’Abû Hanîfah et ses disciples sont d’avis que le talion s’applique au musulman pour l’homicide d’un dhimmi du fait de la portée générale des textes du Coran et de la sunnah imposant le talion, pour l’accord de ces textes quant à la sacralité intemporelle du sang et aussi d’après le récit relatant que le Prophète – que les salutations et les bénédictions d’Allâh soient sur lui – a exécuté un musulman pour le meurtre d’un mu`âhid disant : « Je suis le plus noble parmi ceux qui tiennent leur engagement » (rapporté par `Abd Ar-Razzâq et Al-Bayhaqî. Ce dernier a jugé ce récit faible selon As-Sunan, volume 8, p. 30. cf. le commentaire d’Ibn At-Turkumânî dans Al-Jawhar An-Naqî en marge d’As-Sunan Al-Kubrâ et Al-Musannaf, volume 10, p. 101)
De même, on relate que `Alî a fait venir un musulman ayant assassiné un homme de la dhimmah et dont la culpabilité a été établie et a ordonné qu’il soit exécuté. Mais, le frère de la victime est intervenu disant : Pour ma part, je lui ai pardonné. `Alî lui a demandé : Ils t’ont peut-être menacé ou effrayé ? Il a dit : Non, mais son exécution ne me ramènera pas mon frère, ils m’ont payé une réparation et j’ai accepté. `Ali a conclu : Tu es mieux placé pour en juger. Le sang des gens envers qui nous nous sommes engagés est comme notre sang et leurs biens sont comme nos biens. (rapporté par At-Tabarânî et Al-Bayhaqî ; As-Sunan Al-Kubrâ volume 8, p. 34). Et selon une autre narration : « ils ont payé la jizyah pour que leur sang soit comme notre sang et leurs biens comme les nôtres ».
Par ailleurs, on rapporte de manière authentique que `Umar Ibn `Abd Al-`Azîz a écrit à l’un de ses princes au sujet d’un musulman ayant assassiné un dhimi lui ordonnant de le soumettre au walî (le parent direct) de la victime, s’il le souhaite, il l’exécute et s’il le souhaite, il lui pardonne. Le prince a donc remis le meurtrier au walî de la victime qui l’a exécuté. (Al-Musannaf de `Abd Ar-Razzâq, volume 10, pp. 101-102)
Ils (Ash-Sha`bî, An-Nakha`î, Ibn Abî Laylâ, `Uthmân Al-Bittî et Abû Hanîfah ?) disent : c’est pour cette raison que le musulman est amputé pour le vol des biens du dhimmi alors que les affaires d’argent sont moins graves que le retrait de la vie. Quant à la parole du Prophète – que les salutations et les bénédictions d’Allâh soient sur lui : « Un musulman ne peut être tué contre un mécréant », cela désigne les mécréant des terres de la guerre et de cette façon les textes sont conciliés. (cf. les écrits de l’Imâm Al-Jassâs dans son livre « Ahkâm Al-Qur’ân » i.e. « Les Lois du Coran », volume 1, chapitre « tuer un musulman contre un mécréant », pp. 140-144, édition Istanboul, édition illustrée à Beyrouth) Telle a été la position adoptée par le caliphat ottoman et appliquée dans ses provinces pendant de nombreux siècles jusqu’à sa destruction au siècle présent par les ennemis de l’islam.
Tout comme l’islam a protégé leur vie, il a protégé leur corps des coups et de la torture si bien qu’il n’est pas permis de porter atteinte à leurs corps même s’ils sont en retard ou s’ils s’abstiennent du paiement de leurs obligations financières telles que la jizyah et le kharâj et ce, malgré la strictesse de l’islam vis-à-vis des musulmans qui ne s’acquittent pas de la zakât. Les juristes n’ont guère autorisé plus que l’emprisonnement en guise de punition pour les dhimmis qui ne s’acquittent pas de leurs obligations, sans que cet emprisonnement ne s’accompagne de torture ou de travaux forcés. A cet effet, Abû Yûsuf écrit que : « Hakîm Ibn Hishâm, l’un des Compagnons – qu’Allâh l’agrée – a vu un homme (du côté de Hims) exposer des nabathéens à la chaleur du soleil faute de paiement de la jizyah. Il l’a interpelé disant : Que fais-tu ? J’ai entendu le Messager d’Allâh – que la paix et les bénédictions d’Allâh soient sur lui – dire : ’Allâh – Exalté et Glorifié soit-Il – torturera ceux qui torturent les gens dans ce bas-monde’ rapporté par Muslim dans son Sahîh ». (Al-Kharâj, d’Abû Yûsuf, p. 125 et cf. As-Sunan Al-Kubrâ d’Al-Bayhaqî, volume 9, p. 205)
De même, `Alî – qu’Allâh l’agrée – a écrit à l’un de ses percepteurs de kharâj : « Lorsque tu prélèves le dû, ne vends aucun vêtement, d’été comme d’hiver, ni une nourriture dont ils mangent, ni une bête de somme. Ne frappe personne du moindre coup de fouet pour un dirham impayé, et ne le maltraite pas pour le paiement d’un dirham ( ?). Ne vends aucun bien pour percevoir le kharâj car on ne nous a ordonné que de prélever sur leur excédent. Si tu enfreins mes ordres, qu’Allâh t’en tienne rigueur et ne m’en tienne pas et si j’apprends que tu as fait un écart, je te démettrai (de tes fonctions). Le percepteur lui a répondu : Dans ce cas, je reviendrai chez toi comme je suis parti ! (signifiant que les gens ne payent jamais sauf par la force) Il lui a répondu : Dusses-tu revenir comme tu es parti. » (Al-Kharâj, d’Abû Yûsuf, pp. 15-16 et cf. As-Sunan Al-Kubrâ aussi, volume 9, p. 205) L’assistance sociale aux dhimmis ( non-musulmans ) en cas d’invalidité, de vieillesse et de pauvreté :
En outre, l’islam garantit pour les non-musulmans vivant au sein de son état un niveau de vie convenable pour eux et pour les gens dont ils ont la charge carilssontdesressortissantsdel’étatmusulman,lequel est responsable de tous ces ressortissants. Le Messager d’Allâh – que les salutations et les bénédictions d’Allâh soient sur lui – dit : « Chacun de vous est pasteur et chaque pasteur est responsable de ses ouailles » (hadîth d’Ibn `Umar faisant l’unanimité) [4] Telle a été la voie des Caliphes Bien Guidés [5] et de leurs successeurs.
Ainsi, le pacte de dhimmah envoyé par Khâlid Ibn Al-Walîd aux habitants d’Al-Hîrah en Iraq – chrétiens de leur état – comprenait : « Je me suis engagé envers eux à ce que tout homme âgé n’ayant plus la force de travailler, ou ayant été atteint d’une maladie quelconque, ou ayant perdu sa fortune et tombé dans le besoin au point que ses correligionnaires lui fassent l’aumône, ceux-là seront exemptés de jizyah et vivront à la charge du Trésor Public des musulmans [6], eux et les individus à leur charge. » (rapporté par Abû Yûsuf dans Al-Kharâj, p. 144). Ceci a eu lieu pendant le caliphat d’Abû Bakr As-Siddîq et en présence d’un grand nombre de Compagnons. Khâlid Ibn Al-Walîd a écrit à Abû Bakr à cet effet et personne n’y a objecté, attitude comptée comme un ijmâ`. [7]
Un jour `Umar a aperçu un vieux juif faisant la quête. Il lui en a demandé la raison et a appris que la vieillesse et la pauvreté l’y obligeaient. Alors `Umar l’a emmené au responsable du Trésor Public des musulmans et lui a ordonné de lui verser ainsi qu’aux gens de condition similaire une allocation du Trésor Public leur permettant de pourvoir à leur besoin et de vivre convenablement. Il a dit à ce sujet : « Nous ne serions pas justes envers lui si nous prélèvions la jizyah sur son revenu pendant sa jeunesse et que nous le délaissions lors de sa vieillesse ! » (référence précédente p. 126) De même, en allant à Al-Jâbiyah près de Damas, il a croisé des lépreux de confession chrétienne. Il a alors ordonné que leur soit alloué une part de l’argent de l’aumône et qu’ils soient couvert par al-qût, (Al-Balâdhurî dans Futûh Al-Buldân (« Les Conquêtes »), p. 177, édition Beyrouth) – c’est-à-dire que l’état se charge de les nourrir et de pourvoir pour eux de manière régulière.
Ainsi est établie la sécurité sociale en islam en tant que principe général qui couvre l’ensemble des enfants de la société, musulmans et non-musulmans. Il n’est pas admissible qu’il reste dans la société musulmane un individu privé de nourriture ou de vêtement ou d’abri ou de soins médicaux ; le soulager de tout mal est une obligation religieux, musulman soit-il ou dhimmi.
L’Imâm An-Nawawî dit dans Al-Minhâj (« La Voie ») que parmi les obligations de suffisance [8] on compte le soulagement des maux des musulmans tel que vêtir le dénudé ou nourrir l’affamé si de tels maux ne sont pas levés par la zakât ni par le Trésor Public. Le savantissime Shamsuddîn Ar-Ramlî, le chaféite, précise dans « Nihâyat Al-Muhtâj ilâ Sharh Al-Minhâj » (un commentaire d’Al-Minhâj) que, sur ce plan, les dhimmis ont les mêmes droits que les musulmans et que le soulagement de leurs maux est une obligation (wâjib).
Ensuite, Sheikh Ar-Ramlî – qu’Allâh lui fasse miséricorde – s’est penché sur la portée de « daf` ad-darar » (lever le mal). Cela correspond-il à un minimum permettant de survivre ou bien est-ce un seuil allant jusqu’à la suffisance ? La seconde opinion est la plus juste car, en terme de vêtements, il faut que tout le corps soit couvert et que cela soit adapté à la saison hiver comme été. On assimile à la nourriture et aux vêtements tout ce qui s’y apparente comme les honoraires d’un médecin, le prix des médicaments et un assistant à plein temps… Et ceci va de soi. » Puis, il a dit : « Fait partie du soulagement des maux des musulmans et des dhimmis la libération de leurs ôtages ». (Nihâyat Al-Muhtâj ilâ Sharh Al-Minhâjd’Ar-Ramlî, volume 8, p. 46, Kitâb « As-Siyar ») LA MAUVAISE COMPREHENSION DU TERME JIZYAH, L’IMPOT DE CAPITATION PRELEVE SUR LES DHIMMIS ( NON-MUSULMANS ) :
Bien que le mot « capitation » (jizyah) possède chez certains écrivains et dans certains esprits une connotation péjorative, il demeure que ce terme est bien loin de la signification que certains veulent lui donner. Le mot jizyah dérive de la racine jazâ (rétribuer), yajzî (il rétribue), jazâ’ (rétribution), construite sur le même modèle étymologique que qadâ (juger), yaqdî (il juge), qadâ’ (jugement). Dans la Révélation, on trouve le verset suivant : « Et redoutez le jour où nulle âme ne sera rétribuée à la place d’une autre. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 4 . Le célèbre hadith dit : « Ton âme sera rétribuée pour toi, mais elle ne sera rétribuée pour personne d’autre que toi. » (rapporté par Al-Bukhârî).
La jizyah a donc le sens de « contrepartie », et c’est d’ailleurs sa réelle signification. Elle est une contrepartie à la protection octroyée par la société islamique aux non-Musulmans. Ces derniers sont en effet exemptés de participer à la défense de l’Etat ou de servir dans l’armée. C’est pour cette raison que la capitation n’est pas prélevée sur les femmes et les enfants, ni sur les autres gens de la dhimmah incapables de subvenir à leurs propres besoins. Ces derniers sont au contraire pris en charge par le Trésor Public musulman qui leur verse des pensions et leur offre des cadeaux leur permettant de vivre dignement. Il n’y a donc rien de péjoratif dans la capitation. En outre, elle est un moyen de concilier la liberté et la justice. La capitation a d’ailleurs des équivalents dans les sociétés européenne et américaine contemporaines.
Hadith SAHIH de An-Nawawi: « La religion, c’est le bon conseil » On doit conseiller avec tolérance…
D’après Sahîhs de Bukhârî et Muslim ces propos du prophète transmis par Abû Hurayra :
«Que celui qui croit en Dieu et au Jour du Jugement dise du bien ou qu’il garde le silence !» Ce hadîth est SAHIH..
Hadith “Imam Mosslem” :
« Celui ou celle d’entre vous qui aura été témoin d’un acte illicite est tenu de le faire changer de ses propres main ; s’il s’en trouve incapable qu’il le face alors avec sa parole ; s’il en est incapable qu’il face alors appel à son cœur ; tel en est le minimum exigible »
On doit pas oublier ce verset: « L’homme ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l’inscrire « [Sourate Qaf (50) ; verset 18]
Ps : L’incitation à commander le convenable et interdire le blâmable s’est répétée 26 fois ds le Coran.. Cela montre l’importance du conseil..
14 septembre 2012 at 10:44
Manger du porc, c’est bon le porc 🙂
21 septembre 2012 at 1:08
REVEILLEZ VOUS !!!!!! LE COQ FRANCAIS NE VA PLUS POUVOIR CHANTER…… ILS VONT L’EGORGER.!!!
26 septembre 2012 at 12:08
La paix est un bien précieux et fragile qui ne va pas de sois, mais qui nécessite un contexte et une attention de tout moment.
La France à rarement eu une période de paix aussi longue en métropole (hélas nous avons eu bien des guerres civiles ou pas dans plusiuers de nos territoires et à l’étranger, avec beaucoups de Francais et beaucoups de Francophiles tués depuis la fin d ela seconde guerre mondiale (indochione, Madagascar, algérie, Tunisie, Suez, Zaire, Yougoslavie, Afganistan, Irak, Corse, Nouvelle calédonie,…).
Le premier facteur nécessaire à la paix est une unité et une stabilité civile.
C’est a dire, au minimum permettre a chacun de vivre décemment dans un pays dont la force publique assure la protection (et non entretien la corruption) et dont le travail « équilibré » permet de se nourrir, se loger, se véhiculer, s’éhabiller, se soigner, éduquer ses enfants décemment. C’est une justice institutionnelle et sociiale équitable.
Le deuxième est la stabilité, la maturité et la moralité de la pluspart des personnes majeures. Le citoyen se doit d’être un homme apte à réflechir avec bon sens et apte à approuver le bien commun. Avoir le sens de la valeur de la vie, le respect d’autrui (corps, biens et réputation). Etre apte à vivre ensemble, à respecter altérité. Etre capable de faire valoir son BON droit et ASSUMER ses responsabilités.
Savoir différenciéer le luxe, le superflue, l’indispensable, l’acceptable, le vital et l’indispensable
Beaucoup de signes me font penser que ce contexte de la paix n’existe plus en France et me laisse à penser que le futur sera amer.
Les balles et la force sont utiles pour faire respecter des règles de vie équitables face à des personnes violentes restraigant les libertées d’autrui. Elles seraient utile à ce jour au Mail dans la partie prisonnières des intégristes.
Mais les troubles que nous vivons ne sont que les conséquences d’une société trops injuste en perte de valeures équitables et par voie de fait, de légitimitée….
Gagner le coeur et les esprit est toujours d’actualité. C’est comme dans un couple : cela se construit tout les jours.
Mais on n’attire pas les abeilles avec du vinaigre….
Les valeurs pronnées et mise en avant par notre socitété sont de plus en plus pourries …
destruction de la cellule familliale, cupidité, culte de la pornographie et de la débauche, infantilisation et absence de respect des choix des citoyens, dénaturation de l’homme et de la femme, souillure de l’innocense de l’enfant, culte de la rentabilité et mépris des plus faible, mise à mort des personnes agées et handicapées, mise à mort des enfants dans le ventre de leur mère afin d’assurer « le bonheur » de ses parent en échappant aux responsabilités parentales (200 000 assasinats par ans depuis trops longtemps), marchandisation des âmes (sectes idéologique politique ou religieuse, idoles de pacotilles sportives ou des spectacles), des esprit (drogues, alcool) et des corps (trafic sur la nouriture, prix exhorbitant des soins, travail limite escavagiste, marchandisation de l’acte sexuel…)
qu’ajouter ?
S’étonner que des « religieux » fanatisé offent un espoir d’une vie meilleure basé sur l’imposition par la force de sa volonté à autrui, avec au passage la possibiilité de laisser libre court aux basees pulsions humaines (meutre, vols par confiscation, torture,…) ?
qu’a a offrir en répose la république si on respecte la loi ?
une vie de fourmis esclave non respectée ?
Le décalogue de la BIBLE donne des valeurs permettant le vivre ensemble et la stabilité d’une société.
La déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen était une pâle copie du décalogue sans Dieu…
Aujourd’hui la loi même restrent de plus en plus les libertées naturelles de part l’état qui veux se mêler de tout et veux considérer mal ce qui était admis pour bien et pour bien ce qui était admis pour mal….
C’est à,la république et à la socité de changer en premier pour préserver la paix. Après elle pourra faire usage de la force pour contraindre le peux d’hommes résoluments violent désirant s’emparer de richesses, d’honneur et de pouvoir par l’imposition de leur utopie, l’anarchie et la force.
Détruire son adversaire est une défaite. La seule vrai victoire est d’en faire un solide allié sans y perdre son âme.
26 septembre 2012 at 10:07
QUELLE BELLE FRANCE DE DEMAIN QUI NOUS ATTENDS A NOTRE EVENTUEL REVEIL!!!
LA FRANCE N’EST PAS LA BELLE AU BOIS DORMANT ET CE N’EST PAS UN PRINCE SUR UN CHEVAL BLANC QUI VA VENIR NOUS REVEILLER, BIEN AU CONTRAIRE!!!!!!
ARRETEZ DE REVER ON EST CUITS COMME UN POULET DANS LA ROTISSERIE….
SORTEZ DE VOTRE LAXISME ET DE VOTRE VISION UTOPIQUE » TOUT LE MONDE IL EST BEAU ET GENTIL » , » VIVE LE MONDE DES BISOUNOURS!!! « .
IMAGINEZ L’AVENIR POUR VOS ENFANTS ET PEUT ETRE QUE VOUS REDESCENDREZ SUR TERRE.
BONNE SOIREE
9 novembre 2012 at 11:01
bientot il y en a qui vont savoir ce qu’a été la france d’avant ,celle du général Bugeaud ,celle où l’on ne mettais pas de gants avant ces putains de droits de l’homme, et cette fois -çi ça ne se passera pas comme en 1962 où les français ont abandonnés le terrain car ce n’était pas le leur.il n’y aura pas de prisonnier.
avis aux envahisseurs .
quand à toi kankan,le fn t’emmerde
9 novembre 2012 at 11:12
ne perdez pas trop votre temps à raisonner et discuter sur internet avec ces canailles.ça ne sert à rien avec eux,regardez ce qui se passe en israel et dans les pays arabes et vous comprendrez qu’ils se moquent de vous ,pour eux vous ètes des laches parce que vous ne faites que parler et n’agissez pas, ils ne connaissent que la loi du plus fort
on ne discute pas avec l’ennemi ,nos résistants ont chassé l’occupant à coup de fusil et pas avec des paroles
un agresseur ça se combat par les armes .
encore faut-il se préparer
fermez vos ordinateurs et mettez vous à l’entrainement .
le général bugeaud disait à propos des arabes :c’est une race de gredins
9 novembre 2012 at 11:22
n’écoutez pas pierre-paul cité plus haut ,qui a laisé un commentaire qui reflète exactement la mentalité de lacheté des français qui se cachent derrière des faux raisonnements pacifistes et qui n’ont amené que la destruction quand hitler a attaqué l’europe.
non ce n’est pas une défaite de détruire son adversaire;c’est une nécéssité
on ne s’allie pas avec ce type ennemi,ça fait plus de 1000 qu’ils essaient de nous détruire ce qui prouve qu’ils ne renonceront jamais,c’est dans leur gènes, ce sont des races mauvaises.
9 novembre 2012 at 11:24
n’écoutez pas pierre-paul cité plus haut ,qui a laisé un commentaire qui reflète exactement la mentalité de lacheté des français qui se cachent derrière des faux raisonnements pacifistes et qui n’ont amené que la destruction quand hitler a attaqué l’europe.
non ce n’est pas une défaite de détruire son adversaire;c’est une nécéssité
on ne s’allie pas avec ce type d’ennemi,ça fait plus de 1000 qu’ils essaient de nous détruire ce qui prouve qu’ils ne renonceront jamais,c’est dans leur gènes, ce sont des races mauvaises.
9 novembre 2012 at 11:32
regardez l’exemple suivant et méditez-y dessus:ils ont appelé CCIF une de leurs associations soi-disant pour lutter contre l’islamophobie mais qui en réalité sert à lutter contre ceux qui s’opposent à eux et sert à faire du lobbying.vous regarderez le sigle du CCIF LE F est en forme de sabre et le mot lui meme signifie sabre quand on le prononce en arabe.c’est éloquent et ça parle de soi-meme….
à quoi sert un sabre d’aprés vous?
9 novembre 2012 at 11:38
http://www.dreuz.info/2012/11/ccif-collectif-contre-lislamophobie-en-france-ou-bien/
voir ce lien vous allez apprendre des choses .ça va vous ouvrir les yeux sur ces soi-disants « pauvres petits arabes ,noirs ,turcs et autres musulmans victimes du racisme et d’islamophobie….. »
on rigole !
24 novembre 2012 at 5:00
A Mme bugeaud qui a du pétrole a gogo respecte ce qui t on donné un semblant de vie civilisé ss les arabes les africains et leurs ressources tu n a jamais rien été la preuve le gasoil ne pousse pas ds le larzac et le gaz il vient direct de ton invasion des années 50 alors coulounel courage tu l auras ta medaillle de bronzéssssssssssssssss
30 novembre 2012 at 11:32
bonjour ,tout d’abord je dois dire que pour moi c’est la culture arabe qui s’impose le vrai probleme et pas les magrébins , pourquoi on en est arrivé là? ,pourquoi on a pas çà avec les chinois ,les vietnamiens, jamais on entends parlé d’eux, réponse parceque les chinois ont donné à leur enfants des prenoms français( c’est çà la vrai integration ) , vous imaginé si tous les arabes en france avait un prenoms français dans quel paix on vivrait ,regarder comment jamel debouze a appellé son fils , c’est çà ne pas diviser les français !et en faisant cet acte et ce choix son petit garçon seras un français et pas un etrangers , LA FRANCE EST COUPABLE DE NEGLIGENCE ET LES PARENTS ARABES AUSSI, la france doit imposer un prenom français à tout ses français , pas de mohamed mais moris ou marc , c’est par manque de sagesse qu’on en est arrivé là , les arabes se sont toujours démarqué et il faut que çà change pour qu’un jour on vive tous en paix,prenez exemple sur les asiatiques, eux on a pas eu besoin de leur dire ! si il y’a la guerre ce seras de leur faute ,il faudras la faire mais il y’auras de quoi pleuré des grosse larmes tous les soirs sur nos cadavres devant si peut d’intelligence et de bon sens de leur part, voilà comment je resoue un probleme d’integration, c’est la solution que j’ai trouvé et qui me parait raisonnable et non comunautariste.Perso je deteste voir des femme voilé en pyjama dans mon pays.alors Jamila tu te transforme en janine ou jenifer et t’arrete de te la peter religieuse habiller en preservatif !! Quand on y pense serieusement tout se bohneur perdue par division de la france alors qu’elle peut etre une avec tout le monde ,il y a de quoi pleuré de tristesse.