Goldman-Sachs est l’illustration archétypique de ce que l’on appelle la « Synarchie » – mais gare à vous si vous osez le dire. On va vous traîter de tous les noms, « conspirationiste » étant le plus gentil, « confusioniste » le moins méchant, voire carrément vous accuser d’être antisémite… car bon, le nombre de détenteurs de passeports israéliens ou de membres du Likoud au sein du Top-Management de Goldman-Sachs est assez ahurissant… mais chut ! Et c’est rigolo de voir les capitalistes boursicoteurs des Publications Agora se réveiller soudain et entonner des trompettes Marxistes…
GOLDMAN-SACHS VOUS DIT MERCI !
[Philipe Béchade – Publications Agora – Février 2014]
Vous savez ce que vous êtes, cher lecteur ? Un « guignol ». Un pantin, une marionnette à qui l’on refile « les actions et autres produits dont on essaie de se débarrasser parce qu’on considère qu’ils ne présentent pas beaucoup de potentiel de profit ». Un « éléphant » qu’il faut « chasser » — en le persuadant de faire des trades inutiles et inadaptés… mais qui rapportent gros à celui qui vous les a conseillés.
Mais après tout, pourquoi pas ?
- Quand on est l’une des cinq plus grosses banques des Etats-Unis…
- Qu’on compte, comme nous le verrons dans quelques lignes, des amis dans les principaux gouvernements et autorités financières de la planète…
- Qu’on a le pouvoir de gonfler des bulles mondiales puis de les faire exploser — et de s’en mettre plein les poches dans les deux sens…
- Quand on prétend — avec le plus grand sérieux — faire « le travail de Dieu »…
… Pourquoi se fatiguer à prendre des gants ?
On ne présente plus Goldman Sachs, que vous aurez reconnu sans peine dans cette édifiante description.
« Mais », me direz-vous, « je ne suis pas client de Goldman Sachs. En quoi est-ce que tout ça me concerne ? »
Eh bien… vous êtes sur le point de découvrir la réponse à cette question. Je préfère vous avertir : préparez-vous à en apprendre un peu plus que vous le souhaiteriez sur le « linge sale » de la haute finance.
Avec Goldman Sachs (comme avec pas mal d’autres grandes institutions boursières, bancaires et financières), on n’est jamais au bout de ses surprises.
- Des surprises pas très reluisantes.
- Des surprises dans lesquelles sont mouillés un nombre ahurissant de grands intervenants politiques et économiques de la planète.
- Des surprises qui vous ont coûté cher, comme nous allons le voir dans quelques lignes.
Vous pensiez tout savoir sur « GS » ? (Autant l’appeler par son petit nom, puisque nous sommes sur le point d’aller regarder d’un peu plus près ce qui se passe dans les cuisines…) Vous vous trompiez. Mais avant d’aller plus loin… (…) : vous allez voir que même sans être client de GS… les opérations de la firme ont déjà coûté une somme considérable aux contribuables du monde entier — dont vous. (suite…)